Revue Britannique, Vol. 7: Ou Choix d'Articles Traduits Des Meilleurs Écrits Périodiques de la Grande-Bretagne, Sur La Littérature, Les Beaux-Arts, Les Arts Industriels, l'Agr

Excerpt from Revue Britannique, Vol. 7: Ou Choix d'Articles Traduits des Meilleurs Écrits Périodiques de la Grande-Bretagne, sur la Littérature, les Beaux-Arts, les Arts Industriels, l'Agriculture, la Géographie, le Commerce, l'Économie-Politique, les Finances la Législation, Etc., Etc Malheureusement il nous était arrivé, ainsi qu a beau coup d'autres bonnes familles que tandis que nos hon neurs s'étaient accrus avec le tems, notre fortune avait diminué; les années qui avaient toujours ajouté à l'an tiquité de notre nom, avaient'tout aussi constamment réduit notre revenu. Lorsque mon père était entré en jouissance de son bien sa femme, par une économie judi cieuse, lui avait donné les moyens de soutenir, sans tr0p de gène, l'honneur de sa maison. Il avait moins de do mestiques, moins de chevaux, et il recevait moins de monde que son père; et cependant son établissement était sur un pied convenable.'mais lorsque ma mère lui donna successivement, d'année en année, un nouvel en fant les Choses commencèrent à changer de face; il fallut y regarder de plus près et quand toute la famille fut d'âge à jouir de la plénitude de son appétit, ce ne fut que bien difficilement que mon père put payer les domes tiques nécessaires pour nous servir, et supporter la dé pense journalière de la moitié d'un boeuf qu'il fallait pour alimenter notre table. Si nos besoins se fussent bornés là, il serait cepen dant parvenu à les satisfaire mais nous étions des gen tils - hommes connus dans le comté, et par conséquent obligés de vivre comme les personnes de notre rang; c'est - à-dire d'aller ami bals aux concerts aux courses de Chevaux à la chasse et ces plaisirs indispensables étaient pour nous la source des plus grands embarras. Il n'est pas étonnant, d'après cela que mon pauvre père désirât vivement nous voir prendre racine, comme on le dit, dans les poches du public. Par malheur il était whig, et tout ce qu'il pouvait faire, c'était de nous mettre à mème de profiter du premier tour favorable qui pourrait se présenter dans les affaires publiques c'est-à - dire du m o ment où nos adversaires seraient congédiés et remplacés par nos protecteurs. En conséquence John, mon frère aîné prit les ordres'pour pouvoir obtenir un bénéfice le cas échéant; le second Charles par le crédit d'un de nos voisins s1r Marmaduke Boroughly, tory prononcé, fut nommé enseigne dans le 60e d'infanterie {jacques entra dans la marine, dans l'espoir d'obtenir le com mandement d'un navire lorsque nos amis auraient le ministère et après douze ans de service, il n'était encore qu'aspirant, et mes neuf soeurs attendirent patiemment des maris. Lorsqu'arriva le tems de songer à mon éta blissement, comme j'étais le puîné de mes trois frères il se trouva qu'on avait déjà disposé en leur faveur des choses les plus avantageuses c'est - à - dire de l'évèché en expecta tive de l'armée et de la marine. Ce fut là le principe de toutes mes peines qui se terminèrent par l'incident re marquable dont je vais faire le récit. About the Publisher Forgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.com This book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.